A Abidjan, à la faveur de la 3e édition de la Nuit du football africain (NFA), l’international français, Lilian Thuram a rendu hommage à un international ivoirien Youssouf FOFANA
Lilian Thuram vous trouvez toujours du plaisir à jouer au football !
C’est un plaisir de participer à cette 3e édition du football africain. Un plaisir de taper dans le ballon. Surtout ici à Abidjan. Je suis toujours heureux quand je participe à un match de football.
Quels sont nos rapports avec les joueurs ivoiriens ?
Nous avons des rapports de sympathie. J’ai eu la chance de jouer avec Yaya Touré à Barcelone, j’ai croisé d’autres joueurs en tant qu’adversaires. C’est ce lien qui nous lie. Mais, le lien le plus fort qui me lie à la Côte d’Ivoire quand on parle de football, c’est Youssouf Fofana. Il a été quelqu’un d’extrêmement important pour moi, lorsque j’étais jeune joueur à Monaco. Très souvent, il m’accueillait chez lui. Sa femme me faisait à manger. Si je suis devenu, le joueur que je suis, c’est grâce à cette famille qui m’a donné beaucoup d’amour et qui m’a aidé à avoir confiance en moi quand j’étais jeune joueur à Monaco.
Et avec Didier Drogba ?
Je l’ai croisé en tant qu’adversaire. C’est un grand joueur et c’était toujours un plaisir de jouer contre lui parce que cela allais être un duel exécutant et très difficile.
Thuram, joueur, écrivain. Bientôt entraîneur ?
Je ne crois pas qu’un jour je deviendrai un entraîneur. Pour l’instant, je travaille pour ma Fondation et j’essaie d’avoir des réflexions sur le racisme, du sexisme, de l’homophobie. Notre vision est de faire comprendre que chacun de nous à un rôle à jouer dans la société. Ne pas jouer ce rôle, c’est dire qu’on cautionne des inégalités qui existent dans la société.
Quel serait le profil du nouvel entraîneur des Eléphants de Côte d’Ivoire, selon vous ?
Je ne suis pas le football à ce point pour vous répondre. Mais, je puis vous dire pour qu’une équipe nationale parte de l’avant, il faut des joueurs qui se mettent à disposition du groupe. Qui pensent au collectif. Quand vous avez un bon entraîneur, avec cet état d’esprit, vous pouvez aller loin. En 98, nous avions des joueurs de grandes qualité et de très haut niveau. Des joueurs qui savaient ne pas perdre de vue l’objectif final. C’est-à-dire être concentré et persuadé qu’on pouvait arriver le plus loin possible en se respectant.
Source: Abidjan.net
Ange K
C’est un plaisir de participer à cette 3e édition du football africain. Un plaisir de taper dans le ballon. Surtout ici à Abidjan. Je suis toujours heureux quand je participe à un match de football.
Quels sont nos rapports avec les joueurs ivoiriens ?
Nous avons des rapports de sympathie. J’ai eu la chance de jouer avec Yaya Touré à Barcelone, j’ai croisé d’autres joueurs en tant qu’adversaires. C’est ce lien qui nous lie. Mais, le lien le plus fort qui me lie à la Côte d’Ivoire quand on parle de football, c’est Youssouf Fofana. Il a été quelqu’un d’extrêmement important pour moi, lorsque j’étais jeune joueur à Monaco. Très souvent, il m’accueillait chez lui. Sa femme me faisait à manger. Si je suis devenu, le joueur que je suis, c’est grâce à cette famille qui m’a donné beaucoup d’amour et qui m’a aidé à avoir confiance en moi quand j’étais jeune joueur à Monaco.
Et avec Didier Drogba ?
Je l’ai croisé en tant qu’adversaire. C’est un grand joueur et c’était toujours un plaisir de jouer contre lui parce que cela allais être un duel exécutant et très difficile.
Thuram, joueur, écrivain. Bientôt entraîneur ?
Je ne crois pas qu’un jour je deviendrai un entraîneur. Pour l’instant, je travaille pour ma Fondation et j’essaie d’avoir des réflexions sur le racisme, du sexisme, de l’homophobie. Notre vision est de faire comprendre que chacun de nous à un rôle à jouer dans la société. Ne pas jouer ce rôle, c’est dire qu’on cautionne des inégalités qui existent dans la société.
Quel serait le profil du nouvel entraîneur des Eléphants de Côte d’Ivoire, selon vous ?
Je ne suis pas le football à ce point pour vous répondre. Mais, je puis vous dire pour qu’une équipe nationale parte de l’avant, il faut des joueurs qui se mettent à disposition du groupe. Qui pensent au collectif. Quand vous avez un bon entraîneur, avec cet état d’esprit, vous pouvez aller loin. En 98, nous avions des joueurs de grandes qualité et de très haut niveau. Des joueurs qui savaient ne pas perdre de vue l’objectif final. C’est-à-dire être concentré et persuadé qu’on pouvait arriver le plus loin possible en se respectant.
Source: Abidjan.net
Ange K
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