jeudi 20 août 2015

Les meilleures ventes de joueurs de l'histoire de l'OM

les meilleurs vente de histoire de OM
L’OM fait face à un mercato charnière. Illustrant ce constat, le club phocéen a perdu de nombreux cadres, partis libres ou contre de jolis chèques. De très jolis chèques : trois des ventes effectuées cet été sont en effet entrées dans le top 10 des meilleures transactions historiques de l’écurie olympienne. Avec son transfert à 20 M€, Giannelli Imbula a par exemple fait irruption sur le podium, derrière les intouchables Drogba et Ribéry.
Florian Thauvin lui emboîte le pas avec les 17 M€ de son transfert vers Newcastle, suivi de près par Payet et ses 15 M€. Trois entrées remarquées, qui ont notamment évincé de ce top des légendes telles que Jean-Pierre Papin ou Robert Pirès. Sont toujours présentes, néanmoins, trois vieilles opérations marquées sous le signe du franc, avec les Luccin, Boksic et Dalmat.
Le Top 10 des meilleures ventes de l’histoire de l’OM :
- 1. Didier Drogba : transféré à Chelsea en 2004 pour 37 M€
- 2. Franck Ribéry : transféré au Bayern en 2007 pour 30 M€
- 3. Giannelli Imbula : transféré au FC Porto en 2015 pour 20 M€
- 4. Florian Thauvin : transféré à Newcastle en 2015 pour 17 M€
- 5. Samir Nasri : transféré à Arsenal en 2008 pour 16,8 M€ 
- 6. Dimitri Payet : transféré à West Ham en 2015 pour 15 M€
- 7. Peter Luccin : transféré au PSG en 2000 pour 13,7 M€ *
- 8. Alen Boksic : transféré à la Lazio en 1993 pour 13,3 M€ *
- 9. Stéphane Dalmat : transféré au PSG en 2000 pour 10,6 M€ *
- 10. Loïc Rémy : transféré à QPR en 2013 pour 10,5 M€
Prix convertis en euros compte-tenu de la valeur du franc à l’époque donnée (90 millions de francs pour Luccin, 87 pour Boksic, et 70 pour Dalmat).

Source: footmercato.net

dimanche 12 juillet 2015

Une ivoirienne officier de l’armée américaine!



Le lieutenant-colonel Kouassi Veronica 
Le lieutenant-colonel Kouassi Veronica fait la fierté de la Côte d’Ivoire et est un modèle pour les adolescentes et les jeunes femmes. Le Lt. Kouassi sert dans l’Armée américaine depuis 27 ans. Elle vient de prendre la tête du Bataillon guerrier de Fort Benning, dans l’état de Géorgie. L’unité qu’elle commande apporte un appui à l’opération Enduring Freedom. Toutes nos félicitations à cette brave femme.

Source: Ambassade des Usa à Abidjan

Appel à films : Festilag 2015, Abidjan


Naky Sy Savane
Date limite d'inscription et de réception des copies : 31 juillet 2015.

La 4ème édition du Festival International du film des Lacs et Lagunes (Festilag) se déroulera du 24 au 28 novembre 2015 à Abidjan et Grand-Bassam (Côte d'Ivoire). Quatre prix seront attribués (avec éventuellement des Mentions spéciales).
 
1.) Peut participer :
- tout film dont la réalisatrice ou le réalisateur est de nationalité africaine ou dont les parents sont d'une nationalité d'un des 54 pays d'Afrique ou bien dont le film traite d'un aspect d'Afrique.
- tout film dont la réalisatrice ou le réalisateur est de la nationalité de l'un des pays partenaires internationaux du festival : pays de l'union européenne, Corée, Chine, Inde, Canada, USA, Brésil..
2.) Les films peuvent être de fiction, documentaire ou d'animation, en pellicule ou vidéo.
3.) Durée des films est libre (court, moyen ou long métrage).
4.) Année de production : libre.
5.) Langue originale : qu'importe (langues africaines ou d'autres origines), à condition qu'il existe une copie sous-titrée en français.
6.) Toutes les copies des films et documentaires présentés, qu'ils soient ou non sélectionnés, feront partie des Archives du Festival International du film des Lagunes, et ne seront pas renvoyées.
7.) Date limite d'inscription et de RECEPTION des copies : 31 juillet 2015, à minuit.
 
Les Grand prix
1) Le Grand prix de la Diversité Culturelle doté par l'OIF au Meilleur Long Métrage.
2) Le Prix des Lagunes du Meilleur Documentaire.
3) Le Prix des Lagunes du Meilleur Court Métrage.
4) Le Prix Lagoonwood du meilleur film ivoirien
 
Inscription :
Envoi DVD du film synopsis Affiche ou photo un e-mail à l'adresse suivante :
Festival International du film des Lagunes
28 BP 1193 ABIDJAN 28 - Côte d'Ivoire
Tél/Fax :00(225) 07 44 08 19 / 47 03 66 55 -
France : 00(33) 4 91 08 49 39/ 00 (33) 6 59 36 03 27 / 00(33) 07 51 56 11 47
festilag.ci@gmail.com
 
ÉQUIPE
Présidente du festival : Naky Sy Savané (photo)
Délégué général du festival : Kélétigui Coulibaly.


jeudi 9 juillet 2015

L'extraordinaire histoire de Monique Séka et Aly Badara Diakité

monique seka à ABD
A l’occasion des 19 ans de la disparition du célèbre animateur culturel guinéen, Aly Badara Diakité communément appelé A.B.D et en prélude à la commémoration de ses 20 années d’adieu, l’artiste ivoirienne Monique Séka a rendu un vibrant hommage à cet homme qui l’a toujours aimé de son vivant de par son talent artistique et qu’elle n’a connu qu’après son décès.

Il s’agit d’un single de 2 minutes titré « A.B.D, Yako », chanté par la « Missounwa » de notre regretté dans différentes langues du terroir à savoir : le soussou, le malinké, le pular et le guerzé. Ecrit par l’artiste guinéenne, Oumou Dioubaté, la star ivoirienne Séka a su bien l’interpréter avec sa sublime voix, prononçant impressionnament les mots comme tout bon guinéen.

Pourquoi un titre pour ABD?
L’animateur, formé en Côte d’Ivoire, était rentré en Guinée dans la deuxième moitié des années 80. Inspiré par son idole de toujours, l’animateur ivoirien Fulgence Kassy, ABD avait lancé, en grande fanfare, l’émission musicale Africa Dance sur le modèle des émissions de Kassy en Côte d’Ivoire. Ainsi, tous les samedis, à 9 heures 5mn trébuchantes, ABD captivait les audiences et partageait sa passion pour la musique avec une originalité, qui générait une forme de magie contagieuse.

Rater ce rendez-vous hebdomadaire était impensable ! Les maîtres d’école s’étaient même fait une raison et plutôt que de sévir ils finissaient par rejoindre leurs élèves, autour d’un poste de radio, lorsque tous sortaient de classe au lancement du générique annonçant la diffusion de l’émission. Et ce générique représentera un lien supplémentaire entre ABD et la Côte d’Ivoire. L’animateur ne cessera de bâtir des ponts entre sa terre natale et ce pays d’adoption voisin, qui l’avait tant inspiré.

Pendant huit ans, le tube « Missounwa » de l’ivoirienne Monique Seka est resté l’unique générique d’Africa Dance. Du lancement de l’émission en 1988 jusqu’à la dernière diffusion en 1996, ce grand succès -qui a défini le style afrozouk -est devenu, grâce à la popularité d’Africa Dance, une sorte d’hymne national bis en Guinée. ABD avait à ce point inscrit « Minsounwa » dans la conscience collective, que les guinéens adoptèrent Monique Seka comme faisant partie du patrimoine culturel national et comme une partie-intégrante d’Africa Dance. La fidélité d’ABD pour ce titre et son interprète alimentade nombreuses rumeurs – et quelques phantasmes – sur une supposée liaison romantique, de longue distance, entre la chanteuse et l’animateur.
Ironie du sort, Monique Seka et ABD ne se sont en fait jamais rencontrés.
Très touchée par toute cette affection guinéenne, Monique Seka (actuellement en Guinée dans le cadre d’une visite de solidarité, de soutien et de sensibilisation face à l’épidémie d’Ebola, qui sévit dans 3 pays) a tenu à rendre un hommage posthume à celui qui a fait d’elle une icône en Guinée. Elle est entrée en studio, à Conakry, pour enregistrer un hommage à ABD en réalisant un titre, qu’elle vient de composer avec la cantatrice Oumou Dioubaté et le doyen Papa Kouyaté, batteur légendaire et gendre de la grande et regrettée Miriam Makeba.


Le morceau intitulé ‘’ABD, Yako !’’ est sorti courant avril pour coïncider avec le 19ème anniversaire de la disparition d’ABD, le 4 mai. Monique prendra part au mois de mai à un gala de collecte de fonds pour lutter contre Ebola. Ce sera l’occasion pour elle de faire part de toute sa reconnaissance envers le pays de son ‘’mari radiophonique’’. Ce bel hommage est plus que mérité. ABD était, de son vivant, un véritable trait d’union entre toutes les filles et tous les fils de Guinée. Ses messages d’unité, de fraternité et de gaîté parlaient à tous. En l’écoutant, on oubliait les appartenances politiques et autres distinctions ethniques ou régionales. Les jeunes s’identifiaient à lui et il savaitles tenir en haleine, tous unis par la musique.

Surnommé Gonzalo par ses intimes, ABD avait développé une relation très personnelle avec son public. Il leur avait ainsi apprisque le samedi, jour de diffusion de son émission, était un jour sacré tout au long duquel son véritable nom ne devait en aucune façon être prononcé. Les guinéens aiment encore se rappeler qu’ils se prêtaient volontiers à son jeu et l’imitaient en ne se référant eux aussi à lui, les samedis, que par : N’ga Sayon Khady, signifiant fils de N’ga Sayon en langue Sousou.

Un grand merci à Monique Seka, la « Missounwa » d’ABD venue le faire revivre, à l’approche de la date anniversaire de son décès. En disant ‘’Yako !’’ à celui dont la mort a tant touché la Guinée, c’est au pays tout entier endeuillée par le virus Ebola que la sœur ivoirienne témoigne sa compassion et son affection.
Alors depuis ta tombe, tu veilleras bien recevoir les gentils mots chantés par ton idole, Monique Séka. Dors en paix !

Source :visionguinee.info

mercredi 8 juillet 2015

Toute la lumière sur le décès de Céline Dion

celine dion
"Céline Dion est morte :Céline Dion, née le 30 mars 1968 à Repentigny, était une chanteuse québécoise. Elle est décédée le 9 juillet 2015, à l'âge de 47 ans.La disparition inattendue de la chanteuse célèbre pour ses tubes S'il suffisait d'aimer,My Heart Will Go On ou encore Pour que tu m'aimes encore a déclenché une importante vague d'émotion au Québec et dans le reste du monde." affirme le site nécrologie.org
Mais qu'en est il exactement?

En effet ,la fausse nouvelle du décès de la chanteuse célèbre pour ses tubes S'il suffisait d'aimerMy Heart Will Go On ou encore Pour que tu m'aimes encore, annoncée mardi après-midi sur Twitter a provoqué un emballement médiatique sans précédent. Pas de panique, à 47 ans Céline Dion est toujours vivante et bien portante.

Rumeur planétaire, l'effet Twitter
Le réseau Twitter colporte toutes sortes d’informations, les vraies comme les fausses. Les plus anodines comme les plus terribles. Ainsi nombres personnalités ont déjà été l'objet de fausses rumeurs de mort se propageant sur Internet comme une traînée de poudre. Hier, ce fut au tour de Céline Dion, chanteuse québécoise, d’être enterrée par un tweet funèbre.
Tout est parti du message : « Céline Dion vient de nous quitter. RIP. », publié sur le site de microblogging mardi 7 juillet vers 13h30. La rumeur enflamme immédiatement la Toile. Nouveau tweet une heure plus tard : « Décès de Céline Dion, les proches de la chanteuse confirment ». Pour amplifier l'effet d'annonce, ce dernier tweet est accompagné d'un lien vers le site Nécropédia (qui précise pourtant que Céline Dion n'est pas morte).
Selon un sondage du Celebrity Post, une large majorité (84%) jugeaient mardi soir les rumeurs du décès de Céline Dion de très mauvais goût.
L'entourage aurait « démenti formellement » la mort de la chanteuse
La fausse information est ensuite reprise par quelques radios puis par des médias du monde entier. Ce n'est que tard dans la soirée de mardi que le porte-parole de la chanteuse se serait fendu d'un communiqué laconique qui « dément formellement le décès de Céline Dion ».
Les fans sont rassurés. Twitter est un outil d'information rapide, mais il faut être de plus en plus vigilant.
Source: MédiaMass

mardi 30 juin 2015

Burkina Faso:Des militaires français soupçonnés de pédophilie

Soldats français_ais soupçonnes

Le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a immédiatement suspendu mardi deux soldats soupçonnés d'abus sexuels sur enfants au Burkina Faso, une célérité qui tranche avec la prudence observée lors d'un précédent scandale de même nature en Centrafrique.

«Deux soldats français en mission au Burkina Faso ont été soupçonnés, hier (lundi), de s'être livrés à des actes à connotation sexuelle sur deux enfants», a annoncé à l'AFP le ministère français de la Défense.
«Informé de ces soupçons, le ministre de la Défense a immédiatement signalé les faits allégués aux autorités judiciaires françaises compétentes (...). Il a également suspendu les deux soldats», a ajouté le ministère dans une déclaration écrite.
Une des victimes supposées des deux soldats est une fillette de 5 ans, dont les parents étaient amis des agresseurs présumés, a déclaré à l'AFP un haut responsable de la gendarmerie burkinabè.
«Il y a un soldat qui a filmé la scène avec une caméra quand le second effectuait les attouchements», a déclaré cette source proche de l'enquête.
La victime est «une mineure de 5 ans environ dont le père est Burkinabè et la mère Française», a poursuivi le gendarme, ajoutant que «les deux soldats sont des amis de la famille», chez qui ils ont «oublié la caméra» grâce à laquelle ils avaient enregistré leurs méfaits.
Le père de la fillette, après avoir visionné les images, a porté plainte à l'ambassade de France à Ouagadougou, qui a à son tour saisi la gendarmerie burkinabè, selon cette même source.
Deux enquêtes ouvertes en France
«Une enquête de commandement a été déclenchée par le chef d'état-major des armées», le général Pierre de Villiers, a annoncé le ministère français. «Si les faits étaient avérés, l'armée se montrerait implacable à l'égard des deux personnes concernées», a souligné le ministère.
Le parquet de Paris a ouvert dans la foulée, dès mardi soir, une enquête préliminaire pour agressions sexuelles sur mineurs, a appris l'AFP de source judiciaire. L'enquête a été confiée aux prévôts de la gendarmerie, chargés des investigations sur les militaires déployés sur les théâtres d'opérations extérieures.
La décision de rendre l'affaire publique de même que la suspension quasi-immédiate des deux soldats, pour l'heure seulement suspects, sont aux antipodes du traitement réservé au premier scandale de viol sur mineurs, qui a écorné l'image de l'armée française.
Jean-Yves Le Drian, informé dès juillet 2014 par les Nations unies d'accusations d'abus sexuels sur des enfants en Centrafrique, avait alors saisi la justice française et lancé une enquête interne, comme au Burkina Faso, mais n'avait pas dévoilé l'affaire ce qui lui fut reproché lorsque le scandale éclata au grand jour fin avril.
Les accusations en Centrafrique, dénoncées dans un rapport interne de l'ONU, ont été révélées in fine par le quotidien britannique The Guardian, suscitant indignation et incompréhension face à une armée qui se veut exemplaire.
Malaise dans l'armée
Selon une source judiciaire, 14 militaires français ont été mis en cause, dont trois sont identifiés, par les témoignages de six enfants de neuf à treize ans dénonçant des faits commis au début de l'opération Sangaris entre fin 2013 et fin mai-début juin 2014.
Jusqu'à ce jour, les trois militaires identifiés, qui ont depuis quitté la Centrafrique, n'ont pas été inquiétés au nom de la présomption d'innocence.
«Si d'aventure un seul d'entre eux a commis de tels actes, qu'il se dénonce immédiatement (...) car cela revient à trahir ses camarades, l'image de la France et la mission des armées», avait alors réagi le ministre de la Défense.
Au total 3000 militaires français sont déployés au Sahel - dont 220 environ au Burkina Faso - dans le cadre de l'opération antiterroriste Barkhane qui s'étend sur cinq pays (Mauritanie, Mali, Tchad, Burkina Faso et Niger).
S'y ajoutent environ 900 soldats en Centrafrique où le contingent initial (2000 hommes) a été progressivement réduit pour laisser la place à la force de l'ONU (Minusca).
Autre différence notable, la justice burkinabè a été immédiatement «saisie par l'ambassadeur de France à Ouagadougou», a précisé le ministère de la Défense. À Bangui, les autorités de transition ont déploré n'avoir été informées que tardivement de l'enquête française sur des viols présumés d'enfants par des militaires français.
L'affaire centrafricaine a aussi suscité un certain malaise au sein de l'armée française qui redoute que ce genre d'accusations, fondées ou pas, ne se multiplient et n'ouvrent la porte à tous les dérapages.

«Soit ces affaires sont avérées, auquel cas c'est extrêmement grave (...). C'est toute une armée qui en prend plein la figure», relève le chef d'état-major de l'armée de Terre, le général Jean-Pierre Bosser. «Soit ce n'est pas avéré et c'est aussi grave (...). Tous nos soldats sont assimilés à des violeurs d'enfants.»

Source : lapresse.ca

Mike Tyson fête ses 49 ans et livre des faits insolites de sa carriere

myke tyson
L'occasion de revenir sur les cinq anecdotes les plus insolites sur la carrière du champion du monde de boxe !

Tout au long de sa carrière Mike Tyson n'a pas fait parler de lui uniquement pour son talent pour la boxe. Passé plusieurs fois par la case prison et divorcé à deux reprises, il est aussi connu pour ses agitations hors du ring. Reconverti acteur, il a enchainé les révélations insolites lors d'interviews et a raconté quelques infos croustillantes dans son autobiographie La vérité et rien d'autre. Voici quelques-unes des infos les plus insolites de Mike Tyson !

Il aime les pigeons

" La première chose que j’ai aimée dans ma vie, c’est un pigeon"  avait plusieurs fois confié Mike Tyson. Petit, le boxeur collectionnait ces volatiles et il raconte dans son autobiographie que "C’est lorsqu’un individu avait tué un de ses pigeons, qu’il avait donné son premier coup de poing." Il a même présenté une émission de téléréalité consacrée à sa passion, comprenant six épisodes et diffusés sur la chaine américaine Animal Planet.

Il a voulu frapper Mickael Jordan

Un soir d’ivresse lors d’un diner, Mike Tyson est devenu très violent. D’après Rory Holloway, son ancien manager, Mike Tyson était en plein divorce d’avec l’actrice Robin Givens, et son moral était au plus bas. Alors qu’il avait enchainé les verres, le champion du monde voit débarquer le champion de Basket, Michael Jordan. " Dès qu’il l’a vu arriver, Mike Tyson est devenu tout blanc " raconte le manager  "Il lui a dit "Hey mec, tu crois que je suis stupide ? Je sais que tu as couché avec elle !" Mike disais à tout le monde qu’il allait le botter le cul. Tout le monde essayait de le retenir, mais il s’est calmé."


Il trouve Benito Mussolini très inspirant
 En janvier 2015, Mike Tyson se confiait au magazine américain Rolling Stone, sur sa collaboration musicale avec Madonna. Alors qu’il racontait sa rencontre avec l’interprète de Like a virgin, le boxeur a fait des confidences assez surprenantes sur le leader fascite italien des années 1930 " Lorsque je lui parlait, j’imaginais que j’étais Mussolini […] Je sais que beaucoup vont me traiter de fasciste […] mais je comprends pourquoi Hitler était attiré par lui ! Il dégage beaucoup de fierté et il était très swag bien avant les débuts du hip-hop ! "

Il a fait un One-Man-Show ... Qui a remporté un franc succès aux États-Unis !
 En 2012, Mike Tyson se lance dans le One-Man-Show. Pendant quelques mois, il s’est ainsi produit à Las Vegas 'Beaucoup d’entre vous se demandent : mais qu’est ce qu’il va faire debout sur scène ce soir ? "  sa phrase d’introduction a été souvent reprise par les professionnels du Stand-up. Son spectacle raconte quelques unes des anecdotes les plus insolites sur la carrière du boxeur : c’est le cas du match de 1997, lorsqu’il a mordu l’oreille de son adversaire, lui arrachant ainsi un morceau. Le One-Man-show de Mike Tyson a été un grand succès !

Il utilisait de faux pénis pour échapper aux contrôles anti-dopage !
Dans son autobiographie, Mike Tyson raconte la première fois qu’il a eu recours à un faux pénis afin d’échapper aux contrôles anti-dopage. "C’était en Ecosse. Le matin du match, j’avais pris de la coke et un peu d’herbe. La coke disparaîttrès vite de l’organisme, mais ce n’est pas du tout le cas de l’herbe. J’avais un contrôle anti-dopage une heure plus tard … J’ai donc utilisé un faux pénis, rempli de l’urine saine de quelqu’un d’autre … "



lundi 29 juin 2015

Le Barça fait son offre pour Pogba,un nouveau courtisan de poids pour Sergio Ramos


Pogba cible prioritaire pour le barça


Une nouvelle recrue pour l'OM, Casillas vers la Roma, l'offre du Barça pour Paul Pogba, Manchester City à la lutte avec United pour Ramos et la dernière cible de la Juventus, retrouvez dans votre revue de presse des dernières informations de la presse sportive européenne.
Une nouvelle recrue à l’OM

Après Yohann Pelé et Georges-Kévin Nkoudou, l’Olympique de Marseille est en passe de boucler l’arrivée d’une nouvelle recrue estivale en la personne de Karim Rekik. SelonL’Équipe, le jeune défenseur néerlandais de Manchester City, déjà pisté par Marcelo Bielsa l’an passé, coûterait 5 M€ au club phocéen.
L’offre du Barça pour Pogba se précise
Comme souvent ces dernières semaines, le dossier Paul Pogba fait la Une des journaux espagnols ce matin. Cible prioritaire du FC Barcelone, le Français est courtisé de toutes parts. Et pour griller la concurrence, le Barça va prochainement offrir 90 M€ à la Juve pour son milieu de terrain. Le joueur resterait un an de plus en Serie A et débarquerait en juin 2016. Le Barça inclurait des garanties dans le contrat en cas de blessures du joueur.
Manchester City à la lutte pour Sergio Ramos
Manchester United a du souci à se faire. Alors que les Red Devils ont déjà proposé deux offres au Real Madrid pour Sergio Ramos, voilà que le voisin City s’est joint à la lutte pour le défenseur espagnol selon le Daily Mirror. Manuel Pellegrini entendrait profiter des tensions naissantes entre Red Devils et Merengue (dossier De Gea qui traîne en longueur) pour rafler la mise.
....
Source : FootMercato

Exclusive :Tous sur les jardins secrets du cannabis!

Ils seraient de 80 000 à 200 000 en France à faire pousser du cannabis pour leur usage personnel. Rencontre avec ces fumeurs de joints devenus des botanistes éclairés.

Comme environ 17 millions de ses compatriotes qui s’adonnent, les beaux jours venus, à leur passion du binage, Jean-Luc aime tirer profit de son grand terrain enclos de 700 m2. Depuis dix ans qu’il habite un vieux corps de ferme picard, ce militaire de 56 ans – « encore d’active pour quelques semaines » – cultive des légumes et des arbres fruitiers. « Tout en bio » et avec du compost maison pour nourrir le sol. Pas exempt de fierté jardinière, il offre volontiers un tour du propriétaire à ses visiteurs.

Il y a cependant un petit recoin que Jean-Luc évite soigneusement de montrer. Un espace invisible de l’extérieur. Son jardin secret. Derrière une rangée de maïs doux et de poiriers, bordés par une haie de forsythia et de cotonéaster, cinq à dix pieds de cannabis poussent chaque année en pleine terre. « Je taille pour que ça ne monte pas trop haut et je tire les branches au sol pour que ça parte en largeur, mais c’est à peu près tout. Je n’arrose même pas, ça pousse comme du chiendent. »


Un plant de cannabis exhibé lors d'une marche pour la légalisation à Buenos Aires, en décembre 2014.


Sur son calendrier lunaire, Jean-Luc, qui préfère évidemment taire son patronyme, a entouré les 3, 4 et 5 juillet. Des journées propices pour semer une deuxième vague de carottes, quelques courgettes et son précieux cannabis.
Si les cieux sont favorables, il récoltera fin octobre de quoi obtenir environ 500 grammes d’herbe sèche. Pas assez pour fumer pendant un an, mais peu importe, « quand y en n’a pas, y en n’a pas. C’est comme les tomates, quand la saison est finie, on n’en mange plus. Néanmoins, j’y suis attaché : c’est le seul psychotrope que je cultive. Ça me détend et, surtout, je suis content d’en disposer pour presque rien. » Comptez une soixantaine d’euros pour dix graines quand la valeur du gramme d’herbe se négocie entre 9 et 20 euros dans les cages d’escalier. Même une éventuelle descente de ses anciens collègues ne semble pas de nature à troubler la sérénité potagère de Jean-Luc : « Dix pieds au fond du jardin, ça n’irait pas bien loin. »

L’EUROPE, UN PRODUCTEUR MAJEUR D’HERBE
Cette placidité bucolique, dont on ne sait si elle est liée à sa consommation d’herbe, contraste avec l’analyse de l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT), qui parle d’un « bouleversement global du marché à l’échelle continentale ». En clair, l’Europe, située du côté « importateur » du marché du cannabis, est en train de devenir un producteur majeur d’herbe, et la France tient son rang avec un contingent de 80 000 à 200 000 cultivateurs. « Même si la résine de cannabis en provenance du Maroc [le shit] domine encore le marché, les chiffres des saisies sont particulièrement éclairants, indique Michel Gandilhon, chargé d’étude au sein du pôle Tendances récentes et nouvelles drogues de l’OFDT. Jusqu’en 2010, on découvrait en moyenne de 50 000 à 60 000 plants par an en France. On en a saisi 158 592 en 2014, le triple. »



Une autre manière de prendre la mesure du phénomène consiste à entrer les mots-clés « cannabis » et « cultivait » dans Google Actualités : à chaque jour son lot de faits divers et de saisies, souvent fortuites, tissés sur la trame mystérieuse et implacable du destin où s’entremêlent guigne, délation et relevés inopinés de compteur EDF.

C’est d’ailleurs pour éviter d’éveiller les soupçons en forçant sur le kilowattheure que François s’est récemment équipé d’un éclairage à LED. Cadre dirigeant, ce trentenaire veille le jour sur le réseau informatique d’une très grande entreprise française et, chaque soir, sur sa production d’herbe, méticuleusement calfeutrée dans la cave de sa maison versaillaise. « Ça fait maintenant dix ans que je suis dans l’autoproduction. Je ne fume plus de cigarettes, mais j’ai encore besoin d’un joint le soir. C’est ça ou le Xanax. »
François reconnaît sans détour avoir longtemps apprécié le versant dit « récréatif » du cannabis (« A 20 ans, j’étais une loque, je fumais matin, midi et soir »). Il préfère désormais explorer la pente « médicinale »« J’ai une femme, deux enfants, des responsabilités professionnelles importantes, j’ai besoin de cette coupure qui me relaxe. Mais je ne vais pas courir le risque d’aller acheter un produit de mauvaise qualité dans un endroit malfamé. »
Initié à la fumette dans sa prime jeunesse par un cousin plus âgé, François s’est d’abord adonné à la culture sauvage avec un groupe d’amis. Débroussaillant les sous-bois d’une forêt vendéenne pour semer de-ci, de-là. « On repassait quelques mois plus tard pour récolter ce qu’on pouvait. » C’était la vieille époque, celle où la nature naturante faisait superbement ce qu’elle voulait. Mais ce temps-là est révolu. Au moins pour ce qui concerne la production de cannabis. Depuis une bonne vingtaine d’années, la communauté mondiale des cultivateurs d’herbe est entrée dans l’ère de la rationalité technique, bénéficiant du travail des banques de graines américaines et surtout hollandaises entamé dès les années 1970.

DES TECHNIQUES DE POINTE
S’il est naturellement présent en zone tempérée sous la forme du chan­vre Ruderalis, le cannabis a fait l’objet de croisements multiples entre souches asiatiques, africaines ou encore sud-américaines. Il s’agissait à la fois d’améliorer les rendements et de garantir un produit fini plus riche en principe actif (le fameux THC notamment) à des fins récréatives aussi bien que médicinales. Mieux – ou pire, c’est selon –, ces plantes hybrides, dont les variétés se dénombrent par centaines, ont été adaptées à la demande.

Puisque seuls les pieds femelles fournissent les fleurs consomma­bles par les fumeurs, les sélectionneurs ont mis sur le marché des graines féminisées. Puisque, au naturel, la plante ne fleurit que si elle est soumise à un certain cycle d’ensoleillement, on a créé des variétés à autofloraison. Puisqu’il est difficile de dissi­muler une plante de deux mètres de haut, voici des variétés courtes sur pattes. Puis­qu’il faut recréer dans un placard ou une cave les conditions naturelles, faites votre choix dans un vaste catalogue légal comprenant engrais flash, lampes, cabines occultan­tes, filtre à charbon, gel contre les odeurs, extracteurs d’air silencieux…


Durant le festival Cannabis Liberation Day à Amsterdam,  le 14 juin 2015.


Le stade ultime de cette frénésie culmine dans la technique de l’aéroponie. Il ne s’agit pas ici de chevaucher un pégase nain, mais de faire pousser les racines d’une plante dans une boîte hermétique remplie d’un brouillard d’eau et de nutriments pulvérisés par un système haute pression : c’est de cette manière que la NASA peut faire pousser des salades en orbite. Aucun gramme de terre, mais contrôle des filtres et du PH quotidien obligatoire. Les résultats sont, dit-on, spectaculaires.
“Je n’ai mis que deux personnes dans la confidence. Mon frère et un ami. Je peux compter sur eux pour venir prendre soin de mes ‘girls’. Les filles, c’est comme ça que je les appelle” François, cultivateur d’herbe
 Le problème de la culture « indoor », c’est le fil à la patte. Difficile de s’absenter très longtemps quand on fait la pluie et le beau temps. « Je n’ai mis que deux personnes dans la confidence. Mon frère et un très bon ami, lui-même cultivateur, précise François. Je peux compter sur eux pour venir prendre soin de mes “girls”. Les filles, c’est comme ça que je les appelle. Après tout, ce sont des fleurs. » Ces multiples « progrès » ne sont pas pour rien dans l’épanouissement cannabique actuel. Et dans la diffusion des savoirs horticoles. « On cultive par passion, affirme François. On lit, on se documente, on fait des recherches sur Internet, et c’est sûr qu’au bout d’un certain temps, on acquiert des compétences pour soigner les plantes. Ça me sert aussi dans mon jardin extérieur où je fais pousser des framboises, des haricots… Je rêve du jour où je pourrais tout cultiver au même endroit. Naturellement. »


Sortir du placard. Tester la culture en pleine terre. « Ça n’a rien à voir, confirme Patrick, qui se l’autorise dans la campagne du Languedoc. A partir du moment où vous plantez dans une terre bien éclairée… Evidemment, il faut préparer les sols avant. Mais ensuite, c’est simple. On peut même compter sur le travail des auxiliaires type coccinelles pour être débarrassé des pucerons. Et le résultat est incomparable. Visuellement et “gustativement”. »

L’EMBARRAS DES PARENTS
Installé à Marseille depuis une dizaine d’années, Ben a, lui, opté pour une solution de compromis entre la culture du placard et les joies du grand air. « Je plante ça dans des pots que j’installe ensuite au jardin en fonction de l’ensoleillement. Ça me permet de les déplacer facilement quand on reçoit de la famille. Et de les remettre ensuite, ni vu ni connu. »

Graphiste et père de deux enfants de 12 et 8 ans, Ben n’a jamais cherché à expliquer à sa progéniture le pourquoi du comment des trois plantes à côté desquelles papa ne veut pas trop les voir jouer. « Une année, ils m’en ont plié une en deux en lui donnant des coups d’épée. » Reste qu’avec le temps, les questions finiront par fleurir. « Pour eux, c’est une plante comme une autre. J’imagine bien qu’un jour ils découvriront ce que c’est. » Que faire alors ? Leur expliquer que ce « petit plaisir interdit » permet à leur père de se « détendre après le travail » et de « stimuler sa créativité » ? « Je n’ai pas trouvé la réponse », admet-il. Peut-être que le cas de Marie pourra l’éclairer.

Comme beaucoup, cette galeriste installée dans une belle maison en lisière d’une forêt du Médoc a découvert il y a quelques années que son fils n’ignorait plus les « vertus » du cannabis en retournant ses poches de jeans devant la machine à laver. « J’avais déjà jeté une boulette aux toilettes. Et puis, un jour, je remarque un sentier inhabituel qui s’enfonçait dans la forêt. » Au bout du sentier, une petite clairière. Et dans la clairière, quatre plants de cannabis. « Je savais ce que c’était pour en avoir déjà consommé. Vu la quantité, je n’étais pas inquiète concernant le fait qu’il fasse du deal. Sinon, j’aurais tout arraché. Je préfère voir ce qu’il fait et savoir qu’il ne va pas consommer ailleurs. »


Une marche pour la légalisation de la marijuana à Sao Paulo, Brazil, au Brésil, en mai.


La mère et le fils, lui-même formé aux métiers de la vigne, se retrouvent finalement dans une approche biologique du jardinage. « Comme je fabrique de l’engrais de purin d’ortie pour mon potager, je lui en ai proposé. Et j’ai parfois fait l’arrosage pour lui. » Marie est également là pour couper court à toute paranoïa quand, une année, son fils découvre ses plantations ravagées. « Il a tout de suite pensé à du vandalisme, mais en fait, en regardant les traces, je lui ai montré qu’il s’agissait d’une bande de sangliers attirée par la terre meuble. »

RÈGLEMENTS DE COMPTE
Certains raids nocturnes ne sont cependant pas l’œuvre de cochons sauvages. Il y a un an, Maurice a été brutalement réveillé en pleine nuit dans sa maison du Pays basque par trois hommes encagoulés qui se sont emparés de son stock de cannabis après l’avoir roué de coups. Ils étaient bien informés : Maurice hébergeait sur son terrain les plants des six membres de son « cannabis club ». Tout en sachant qu’il risquait des poursuites, il a tout de même choisi de porter plainte : « Je ne voulais pas que ces gens-là continuent à sévir. » Résultat : ses agresseurs viennent d’être jugés et lui comparaîtra le 15 octobre pour détention de cannabis.

Or, comme le rappelle le chercheur David Weinberger de l’Institut des hautes études sur la sécurité et la justice, même si les tribunaux « essaient de contextualiser les délits, en distinguant la consommation personnelle du trafic en fonction des quantités saisies, le producteur, lui, encourt toujours une peine beaucoup plus forte. Surtout en bande organisée. Et pour ça, il suffit d’être deux. » En attendant son procès, Maurice n’a pu se résoudre à tout abandonner. « Je peux arrêter de consommer, mais pas de cultiver. C’est une si belle plante. C’est la reine des plantes. A côté, le plant de tomates n’a aucune dignité. Il s’effondre sur lui-même. »

Source: Lemonde
By Julien Guintard 
Journaliste au Monde

dimanche 28 juin 2015

Didier Drogba et Samuel Etoo pour le même combat!

Samuel Etoo et Didier Drogba,deux fils d'une même mêre
Une nouvelle ère a débuté en Afrique, orpheline des légendaires Didier Drogba et Samuel Eto'o, dont la Côte d'Ivoire et le Cameroun tenteront tant bien que mal de combler le vide sur le terrain.

C'est une page glorieuse qui s'est tournée à l'issue du Mondial-2014, marqué par la retraite internationale des deux plus grands joueurs africains de ces 15 dernières années. Jamais depuis 2000, le tournoi continental ne s'était déroulé sans ces deux immenses attaquants, les seuls à avoir pu s'imposer en Europe, dont ils sont devenus des figures familières et où ils ont brandi les trophées les plus prestigieux.

Pour ces enfants d'Afrique,Il y’a une meilleur vie en dehors des stades

Leader sur les stades,ils le sont également au sein de  leur communauté.
En effet,« Les deux fils d’une même mère ,Mama Africa » ,comme le dit Samuel Etoo, s'engagent de plus en plus dans les initiatives caritatives. Une façon pour eux de contribuer au bien-être des plus démunis et de donner un peu d'espoir aux populations parmi lesquelles se trouvent leurs fans. Découvrons les objectifs et actions menés pas ces deux  icônes.

La Fondation Didier Drogba

Fondation Didier Drogba

C’est en 2007 que la Fondation Didier Drogba voit le jour. Son but : apporter un appui financier et matériel dans le domaine de la santé et de l’éducation à ceux qui en ont besoin en Afrique.
Dans son action, la Fondation a appuyé des projets en Afrique, tels que : La Croix Rouge à Abidjan, l’institution la Page Blanche, des orphelinats en Côte d’Ivoire. La Fondation a organisé trois galas de charité, en 2009, 2010 et 2012. Ces derniers ont permis de lever presque 1 million de livres sterling pour la construction de la clinique d’Abidjan. L’engagement de Didier Drogba lui a valu plusieurs consécrations.
Le premier hôpital construit par Didier Drogba à travers sa fondation a été inauguré cette année à Abidjan. Installé à Attecoube, un district de la capitale ivoirienne, le centre va apporter des soins à moindre coût notamment aux familles démunies.
Hopital construite par la fondation Didier Drogba
Philanthrope, Drogba a déjà indiqué qu’il construirait 5 hôpitaux en Côte d’Ivoire. Celui d’Abidjan n’est que le premier. D’autres sont prévus à Yamoussoukro, San Pedro, Man et Korhogo.


La Fondation Samuel Etoo


De son côté, Samuel Eto’o fait de l’éducation son domaine de prédilection. Il crée sa fondation en se fixant comme objectif : assurer une éducation de base aux enfants de notre centre et fournir une éducation supérieure aux élèves avantagés. À cet effet, elle travaille depuis 2006 sur le projet Fundesport, un centre gratuit de formation sportive, où 80 enfants sont accueillis par an. Ces derniers bénéficient d’une scolarisation et sont stimulés dans la pratique du football.


Toujours pour booster les apprenants, la fondation Samuel Eto’o concède 80 bourses aux meilleurs étudiants de l’Université de Yaoundé SOA II chaque année, depuis 2008. En 2010, elle a fait don du matériel informatique à l’Université de Yaoundé Soa II.À ce jour, la Fondation Samuel Eto’o est à la tête de toute une série de projets liés à la scolarisation, à l'éducation, à la coopération et au développement de l'enfance au Cameroun.

Samuel Etoo siffle contre Boko Haram

La Fondation  Samuel Eto’o s’engage dans la lutte Contre le groupe armé Boko Haram au nord du Cameroun et en Afrique. L’ancien international camerounais Samuel Eto’o a présenté  à Paris, le projet  « Yellow Whistler Blower FC », le club des « sifflets jaunes ».